Après avoir un peu manié l'arbalète en stand de tir et sur divers gibiers, son système de visée grâce sa très bonne lunette n'a plus de secret pour moi et il était temps que la test sur les plus gros gibiers.
Je décidai donc, de bon matin de partir à l'approche et à la chasse du grand mâle moose... L'objectif étant également de rencontrer un ours dans les territoires les plus au nord. Une petite population de quelques mâles éparses peuvent parfois être rencontrés. J'en ai eu l'amer expérience d'un énorme mâle tiré de trop loin qui a fuit une balle logée dans l'épaule... j'ai donc pris soin de m'armer également de ma fidèle .300 pour les tirs longue distance et de ma moins fidèle 30.06 pour les tir nécessitant un doublé voir un triplé (redoutable sur ours).
Début d'une chasse prometteuse |
Le premier grand mâle que je tire à l'arbalète est magnifique. J'ai passé un peu de temps à l'observer et l'approcher et j'ai pris de nombreux cliché de lui. Ma première flèche se plante dans ses poumons. Il ne semble pas réagir se retourne me regarde prêt à me charger. Il ne pars pas. J'ai déjà connu cette réaction avec d'autres gros gibiers tirés à l'approche et l'arbalète. j'ai alors le temps de le viser et lui tirer dans le cou une seconde flèche. A l'impact il marche de quelques mètres et s'effondre. La scène à un gout de sang et de corrida comme seuls les instants d'approche au gros gibier peuvent nous procurer.
Le mâle blessé mais toujours debout malgré une flèche dans le crâne |
Le grand mâle qui m'a blessé .... |
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