Feral hog

Lumière sur le cochon sauvage.

Une annonce peu haletante en apparence. Mais si sa chasse, outre atlantique ne bénéficie pas des mêmes honneurs que les battues au sanglier françaises, chasser le cochon sauvage peut s'avérer être assez intéressant.

Si l'animal peut être abattu aisément avec la .300, il est plus intéressant de le chasser à l'arc ou à l'arbalète. Approcher ses animaux d'environ 180 kg à quelques mètres à quelque chose d'exitant. Il n'est pas rare de sursauter lorsque le sanglier, pourtant énorme qui tourne et retourne le terrain autour de vous détale d'un coup dans un bruit aussi bref que puissant.
Emotion garantie.

Si l'on chasse en plaine, avec une bonne visibilité, se munir d'un fusil à pompe équipé de balles (slug) permet sans conteste le meilleur rendement. Vous pourrez doubler, voir tripler votre tir. Vous laisserez alors sur le carreau deux à trois animaux au lieu de un avec la .300.


Le cochon a une vue médiocre et n'est pas le plus futé des gibiers de la simulation. Bien loin au passage du sanglier de nos forêts...

Pour les tir fléchés visez la tête : succès garanti si vous voulez voir l'animal s'effondrer. A la carabine ou fusil visez l'épaule pour atteindre le coeur. Les cochons accusent bien le coup et peuvent résisiter à un tir de 243 dans l'épaule qui n'aurait pas atteint le coeur mais les poumons.

A l'approche il arrive souvent de devoir chercher l'animal de longues minutes en prétant attention au sens du vent. En effer, le cochon se dissimule facilement dans les hautes herbes. Il n'est alors pas rare de l'entendre grogner, crier et de ne pas appercevoir la bète de 200 kg qui vous tourne autour. S'il vous sent, il fuira.


Aire de répartition du feral hog

Le cochon sauvage de The hunter est différent du sanglier européen. Il s'agit en réalité d'un croisement entre des cochons domestiques semi sauvages qui se sont accouplés avec des sangliers. Ce qui explique, et leur taille, et leur morphologie. C'est un gibier assez présent aux USA, notamment au Texas. Certains ont l'aspect du cochon et d'autres ne se démarquent pas du sanglier.

Toujours est il que les plus gros specimens de sanglier sont chassés en Turquie. Il s'agit des Atilas. Les vieux mâles solitaires dépassent largement les 200 kg, allant jusque 300.



Edito

Une belle reprise de la chasse en ce qui me concerne. Le tableau est plutôt bon pour une balade de deux heures dans les territoires du nord. Le jeu est de plus en plus plaisant, réaliste et les animaux abondants quand on sait les traquer. J'ai eu la chance de voir deux ours, d'en pister trois et d'en tirer un à l'arbalète. Luxe que je ne m'étais jamais permis. Je l'ai laissé s'approcher, l'ai observer en sous bois, à moins de vingt mètres de moi. Magnifique instant. Je lui décoche une flèche en plein cou. Il détale dans le dédale. Les sapins sont haut et la forêt claire semée. Je peux suivre aisément sa course folle dans le viseur de ma lunette. Mais l'émotion n'aidait pas, je tir plusieurs fois mon plantigrade et les balles de .300 ne font que siffler autour de l'animal essoufflé. Puis c'est une balle bien placée à 108 mètres qui mettra fin à sa course folle vers la mort. Balle d'intestin, il s'écroule.
La forêt est d'un calme étonnant. Comme anesthésiée par la salve de balle lâchée en quelques secondes. Le troupeau d'Elk à proximité est déjà bien loin de moi. Mon ours est bien mort, mon premier ours à l'approche, mon premier monstre à l'arbalète. Il n'en fallait pas plus pour me ravir de la reprise de la chasse après un mois d'absence.

Cerfs, Elks, mon tableau est chargé. Merci aux équipes pour le travail magnifiques sur TruRacs. J'ai eu l'occasion de tirer un majestueux Elk à l'approche. Silencieux il venait droit sur mois, impérieux avec sa courane de bois... Sa ramure frôlait son dos musclé et sa taille, exécerbée par ma position couchée lui donnait l'allure d'un cervidé préhistorique. Une flèche lui brisera les deux cervicales. Mort sans même s'en apercevoir.

La tente permet de découvrir et d'approfondir chaque carte dans le détail et sans précipitation. Un véritable plaisir. L'illusion d'un vrai séjour en terre inconnue. J'ai pu ainsi découvrir la quasi totalité des territoires du Nord. Les populations d'ours s'y concentrent à l'extrème nord et cotoyent sans problème des grandes hardes d'Elks. Plus au sud on trouve des Whitetail en abondance et le majestueux moose, facilement identifiable par le Huntermate.

Toute ces innovations et celles à venir (l'apparition de rivières "vivantes" à fort courant) me confortent dans ma conviction : The hunter est réellement une simulation extraordinaire. J'en ai oublié tout autre jeu.

C'est donc sans hésitation que je vais renouveller mon permis wayfarrer pour six mois de plus.

j'ai encore de beaux jours de chasse devant moi...
Tous ne peuvant pas en dire autant, n'est ce pas, Messieurs les gibiers ?

reprise de la chasse

Mon premier ours à l'arbalète. Tiré à moins de 20 mètres. 



Image insolite de 2 Elks (en réalité ils sont trois) et d'un ours au même endroit dans les territoires du nord. 

Beau mâle 

Jeune mâle

Magnifique vieux mâle tiré à l'arbalète.