Une belle reprise de la chasse en ce qui me concerne. Le tableau est plutôt bon pour une balade de deux heures dans les territoires du nord. Le jeu est de plus en plus plaisant, réaliste et les animaux abondants quand on sait les traquer. J'ai eu la chance de voir deux ours, d'en pister trois et d'en tirer un à l'arbalète. Luxe que je ne m'étais jamais permis. Je l'ai laissé s'approcher, l'ai observer en sous bois, à moins de vingt mètres de moi. Magnifique instant. Je lui décoche une flèche en plein cou. Il détale dans le dédale. Les sapins sont haut et la forêt claire semée. Je peux suivre aisément sa course folle dans le viseur de ma lunette. Mais l'émotion n'aidait pas, je tir plusieurs fois mon plantigrade et les balles de .300 ne font que siffler autour de l'animal essoufflé. Puis c'est une balle bien placée à 108 mètres qui mettra fin à sa course folle vers la mort. Balle d'intestin, il s'écroule.
La forêt est d'un calme étonnant. Comme anesthésiée par la salve de balle lâchée en quelques secondes. Le troupeau d'Elk à proximité est déjà bien loin de moi. Mon ours est bien mort, mon premier ours à l'approche, mon premier monstre à l'arbalète. Il n'en fallait pas plus pour me ravir de la reprise de la chasse après un mois d'absence.
La forêt est d'un calme étonnant. Comme anesthésiée par la salve de balle lâchée en quelques secondes. Le troupeau d'Elk à proximité est déjà bien loin de moi. Mon ours est bien mort, mon premier ours à l'approche, mon premier monstre à l'arbalète. Il n'en fallait pas plus pour me ravir de la reprise de la chasse après un mois d'absence.
Cerfs, Elks, mon tableau est chargé. Merci aux équipes pour le travail magnifiques sur TruRacs. J'ai eu l'occasion de tirer un majestueux Elk à l'approche. Silencieux il venait droit sur mois, impérieux avec sa courane de bois... Sa ramure frôlait son dos musclé et sa taille, exécerbée par ma position couchée lui donnait l'allure d'un cervidé préhistorique. Une flèche lui brisera les deux cervicales. Mort sans même s'en apercevoir.
La tente permet de découvrir et d'approfondir chaque carte dans le détail et sans précipitation. Un véritable plaisir. L'illusion d'un vrai séjour en terre inconnue. J'ai pu ainsi découvrir la quasi totalité des territoires du Nord. Les populations d'ours s'y concentrent à l'extrème nord et cotoyent sans problème des grandes hardes d'Elks. Plus au sud on trouve des Whitetail en abondance et le majestueux moose, facilement identifiable par le Huntermate.
Toute ces innovations et celles à venir (l'apparition de rivières "vivantes" à fort courant) me confortent dans ma conviction : The hunter est réellement une simulation extraordinaire. J'en ai oublié tout autre jeu.
C'est donc sans hésitation que je vais renouveller mon permis wayfarrer pour six mois de plus.
j'ai encore de beaux jours de chasse devant moi...
Tous ne peuvant pas en dire autant, n'est ce pas, Messieurs les gibiers ?
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